mardi 15 décembre 2015

Chronique littéraire #51 : Le sang des Fleurs



Titre : Le sang des fleurs 

Auteur : Anita Amirrezvani 

Nombre de pages : 516

Edition : France Loisirs 

Prix : 5,00 euro








Résumé (Amazon) : C'est à Ispahan, la fabuleuse capitale du shah Abbas le Grand, que le destin de cette jeune fille va la conduire. Elle y découvre avec émerveillement les dômes turquoise et les faïences fleuries des mosquées, la luxuriance des jardins, la grouillante animation des bazars. Or cette ville d'Iran au XVIIe siècle est sans pitié pour les plus démunis. Forcée de travailler comme domestique pour mériter l'hospitalité de son oncle, elle fait l'amère expérience de la servitude. Malgré les épreuves, elle s'éveille à la sensualité et s'initie aux secrets des tapis, un art traditionnellement réservé aux hommes. Sous la tutelle de son oncle, un des plus grands maîtres de l'atelier royal, elle apprend patiemment à tracer les motifs les plus raffinés, à marier les couleurs, à réaliser des nœuds d'une finesse et d'une précision extraordinaires, jusqu'à devenir l'égale des meilleurs tisserands de son temps. Résonnant des murmures du hammam et du bruissement des soieries, Le Sang des fleurs est un véritable chef-d'œuvre qui, à travers l'histoire d'une courageuse héroïne, invite à se plonger dans les contes orientaux.


Mon avis



J’ai commencé ce livre parce qu’a mon travail, un résident le lisait et en discutant avec lui, il m’a dit que c’était un très beau livre mais triste a la fin. N’aimant pas tout savoir des autre, je préfère me faire mon propre avis alors quand j’ai eu terminer mon livre, j’ai pioché celui-ci.

Je pensais me retrouvé dans une époque plus récente mais c’est en lisant la fin que je me suis rendu compte qu’on était en 1620. C’est vrai que tout au long je ne m’en était pas rendu compte. Je m’explique quand même. Je ne connais rien au coutume des autres pays (je ne connais même pas toutes celles du mien) alors quand j’ai cru que c’était encore comme ça la bas. Heureusement non mais dans certain pays ça l’est encore. C’est pourquoi certaine organisme se bat pour le droit des femmes dans ces pays.
Le titre du livre ne m’inspire pas tellement pourtant l’auteur a mis 9 ans a écrire ce roman. L’image non plus d’ailleurs. Le livre parle de tapis du début a la fin. Bon d’accord on découvre que c’est grace au fleur qu’ils obtiennent les couleurs de laine qu’il désire mais après le titre n’est pas approprié a mon gout

Je me suis plongé tout de suite dans cette histoire mais plein de chose m’ont révolté. Et me révolterais si je devais vivre dans cette civilisation !!! Cette pauvre gamine qui perds tout sans s’en rendre compte et a qui la vie n’offre aucun cadeau. Durant 2 ans, après la mort de son père, elle vit bien grâce a son oncle mais pas quand sa tante est présente. Elle se retrouve dans une piece avec sa mère a dormir sur des paillace sur un sol dur. Elle a malheureusement pour elle plus d’argent et est obligé d’obéir a sa mère qui redoute la famine. Quand elle décide de se rebeller, elle en bave encore plus mais avec son caractère d’acier, elle s’en sort encore. Elle passe par plein de tourmant tout au long du livre. Je ne comprend pas comment elle arrive a s’en sortir quand t’en de fille lacherais le morceau !! Heureusement qu’elle est courageuse et qu’elle voit la vie avec philosophie. J’ai l’impression que cette jeune fille s’en sort seulement parce qu’elle ne veut pas mourir et rendre les gens autour d’elle fière de se qu’elle aimerais accomplir

Ce livre a beau être épais, je l’ai lu en 1 semaine tellement j’étais plongé dedans. Quand ce monsieur me l’avais décris comme triste, je ne voulais plus trop le lire mais après l’avoir fini, je dois vois avoué que même après 1 mois, ça m’arrive de repensé a ce livre. Il m’a touché, boulversé et j’en passe.



Je relirais ce livre un jour, j’en suis sur !!! 

A bientôt 

Anne 

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